
Un projet soutenu par l’Europe et la Région, pour faire bouger les lignes avec vous !
Depuis 2018, La Ressourcerie Culturelle construit, avec et pour le secteur culturel, des solutions concrètes d’économie circulaire : collecte, réemploi, mutualisation, accompagnement, sensibilisation… Aujourd’hui, notre outil est bien rodé. Il est temps de changer d’échelle !
Depuis octobre 2025, nous avons lancé une nouvelle phase de notre projet : structurer l’économie circulaire culturelle à l’échelle régionale.
Un projet né du terrain… pour le terrain
Ce projet part d’un constat simple : partout en Pays de la Loire, des compagnies, des lieux, des technicien.nes, des festivals cherchent des solutions pour faire autrement.
Moins de gaspillage, plus de coopération. Moins de matériel inutilisé, plus de circulation.
Mais pour rendre ces changements possibles, il faut plus que de la bonne volonté. Il faut des lieux, des relais, des réseaux, des outils… Et c’est tout l’objet de ce projet.
Un soutien clair, des objectifs concrets
Ce projet de structuration de l’économie circulaire culturelle en Pays de la Loire est cofinancé par l’Union Européenne et la région Pays de la Loire (FEDER), l’ADEME et Nantes Métropole. Un soutien fort, qui affirme une volonté politique : faire du réemploi culturel un levier de transition concret sur les territoires.
Notre mission ? Co-construire avec vous une filière régionale, solide et adaptée aux réalités locales.
5 axes pour structurer ensemble
1. Cartographier ce qui existe déjà
Parce qu’on ne part pas de zéro. Il y a des dynamiques, des lieux, des savoir-faire. À nous de les identifier, de les relier, de les valoriser. On cherche les gisements, les acteur.ices, les points d’appui.
2. Rendre le réemploi culturel accessible partout
On étend nos services au delà de la Vendée, pour qu’ils répondent aux besoins réels sur l’ensemble des Pays de la Loire : collectes, ventes, accompagnements, mutualisation, sensibilisation…
3. Co-construire un réseau opérationnel de proximité
Ce réseau, on ne le décrète pas, on le construit avec vous. Ressourceries, collectivités, tiers-lieux, festivals, technicien.nes… Chacun.e a un rôle à jouer. Ce projet est ouvert : à vous, à vos idées, à vos contraintes. L’objectif n’est pas d’imposer un modèle, mais d’adapter ce qui fonctionne à chaque territoire.
4. Favoriser la coopération entre les acteur.ices
Culture, ESS, collectivités, logistique, scénographie… Nos secteurs se parlent trop peu, alors qu’ils partagent les mêmes urgences : écologiques, sociales, économiques.
Favoriser les coopérations entre acteur.ices, c’est créer des synergies concrètes : un décor qui circule entre un théâtre et un tiers-lieu, un transport mutualisé entre deux festivals, une formation pensée avec un chantier d’insertion…
C’est aussi sortir du « chacun pour soi » et inventer des réponses collectives, ancrées, durables.
5. Tester des modèles soutenables, pour tou.tes
On veut que ces solutions tiennent la route dans le temps : économiquement, écologiquement, humainement. On teste, on ajuste, on partage. Ensemble.
Deux temps, un même fil conducteur : l’action
Ce projet se déploie en 2 grandes étapes :
Phase 1 : novembre 2025 – juin 2026
Étude de terrain, diagnostic, rencontres, visites, cartographie. Une phase d’écoute active.
Phase 2 : juillet 2026 – Décembre 2027
Mise en œuvre : animation d’un groupe de travail régional, accompagnement de projets pilotes, création d’antennes, expérimentations concrètes, coordination inter-territoriale.
Une tête bien connue pour porter le projet : Clémence Ménard
Depuis octobre Clémence Ménard sillonne la région à la rencontre des acteur.ices culturel.les, des collectivités, des structures de l’ESS.
Elle est chargée d’étude régionale pour ce projet. Si vous êtes en Pays de la Loire, il y a de grandes chances que vous la croisiez bientôt.
Clémence connaît bien les enjeux de terrain et elle rejoint l’équipe avec l’envie claire d’avancer avec vous, pas à votre place.
“Il ne s’agit pas d’étendre un modèle, mais de créer un réseau vivant, ancré, adapté à chaque territoire. On vient écouter, partager, tester, faire ensemble.”
Clémence Ménard
Une nouvelle étape pour notre antenne nantaise
Depuis quelques mois, notre antenne de Nantes est active sur le site des MIN de Rien, avec 2 permanences hebdomadaires assurées par William. Face à la demande croissante et pour mieux répondre aux besoins du territoire, un poste dédié sera créé en janvier 2026.
Nous sommes entrain de clôturer le recrutement d’un.e chargé.e d’antenne : une personne qui prendra le relais à temps plein pour structurer, développer et renforcer les services proposés sur place. Une belle avancée pour faire circuler encore plus de matériel, d’idées et de coopérations entre Nantes, Montaigu et le reste de la région.
Ce projet s’adresse à vous
Que vous soyez :
- Acteur.ices culturel.les émetteur.ices ou utilisateur.ices de matériel (festivals, théâtres, musées, scénographes…)
- Structures d’accompagnement, de réemploi ou de mutualisation (ressourceries, tiers-lieux, collectifs…)
- Une collectivité souhaitant accompagner la transition
- Un réseau professionnel mobilisé autour des questions de durabilité…
Ce projet est fait pour vous !
Pour rappel, La Ressourcerie Culturelle en 2025, c’est :
- 3 500 m² dédiés au réemploi à Montaigu-Vendée (85)
- Une antenne logistique de 250 m² à Nantes (44)
- Un budget annuel de 530 000 € (avec 8 ETP mobilisés)
- Une reconnaissance nationale (ADEME, Ministère de la Culture, CNM…)
Et une volonté claire : faire circuler les ressources, les idées, les outils, et les pratiques.
On vous embarque ?
Vous avez un projet, une idée, un besoin ?
Vous voulez rejoindre une dynamique collective et concrète ?
Contactez Clémence :
📩 region@laressourcerieculturelle.com
📞 06 07 73 99 30
Nous remercions nos financeurs qui croient en notre projet et nous aident à l’impulser sur le territoire de la région Pays de la Loire.
Avec le soutien de l’Union Européenne (FEDER) et de la Région Pays de la Loire, dans le cadre de la stratégie régionale de transition écologique et d’économie circulaire
Ce projet bénéficie d’un cofinancement de l’ADEME et de la Métropole de Nantes.
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